Comment piéger les varroas ?

Comme des nombreux cas d’animaux, pour le varroas des abeilles aussi, leur principal repérages, d’orientation, se trouve dans les odeurs ! Cette affirmation s’avère d’autant plus valable, que le varroa ne possèdent pas de la vue ! Mais il est capables s’orienter parfaitement dans l’espace, et cela, à partir des odeurs circulantes, dans leurs environnement ! Il se trouve que cette capacité d’orientation n’est pas utilisée pour se défendre, contre qui que ce soit, mais pour s’orienter, mais aussi pour se reproduire efficacement, dans la ruche ! Cela peut se produire jusqu’à l’invasion insupportable de la colonie !! Tel cas peut arriver, faute d’avoir trouvé, et utilisé un moyen efficace, contre une telle invasion.

Alors que, certaines espèces d’abeilles, vivants dans d’autres région, du globe, vivant dans d’autre environnement, ont réussi d’éviter les méfaits causé par les varroas ? Mais il s’avère, qu’à défaut de tel cas, c’est l’apiculteurs qui doit sauver l’espèce, élément majeur, indispensable, qui fait vivre l’environnement végétal de le région !

C’est là que l’apiculteur ingénieux qui doit, et qui peut et devrait intervenir efficacement ! Mais, pour défendre des abeilles, l’usage des drogues, et de diverses produits chimiques sont à la mode ! Il en est de même, dans le cas des varroas, invasives! Mais l’usage de tels méthodes s’avérer dangereux aussi bien pour l’abeille que pour l’homme ! Alors serait-t-il possible d’envisager l’emplois d’autres méthodes de défense contre l’invasion des varroas, en dehors des drogues ?

Nous savons que le varroas ne peut pas voir des images, il n’a même pas d’organe de vision ! Mais malgrés ses manquements visuels, il est capable de s’orienter, dans son environnement, grâce à son raffinement de sensibilité, à partir des odeurs qui circulent dans son environ.

Ainsi dans la ruche, le varroa est capable de repérer le phéromone spécifique que diffuse la larve d’abeille, pour signaler qu’il est devenue adulte, et qu’il n’a plus besoin de se nourriture, ni de soins particulières, si non la fermeture de son alvéoles ! Des informations majeures, sont importantes pour pouvoir se reproduire non seulement pour la larve , mais aussi importante et essentielles, pour le varroa! Pour lui, il est nécessaire d’avoir des conditions calmes, non dérangé et sur, pour s’installer à pondre dans l’alvéole ! de l’élevage des abeilles .Mais il attend que son alvéole soit operculé, élevage protégé !

Il est cependant fort possible que, pendant ce temps et pour les mêmes raisons tous les varroas émettent un signale spécifique et automatique de leur présence et cela en permanence. Si non, alors, dans la même alvéole il sera possible de retrouver plusieurs varroas pondeuses et une surpopulation de varroas invivable, dans les alvéoles. C’est aussi, une information importante circule pour ceux qui sont à la recherche des occasions pour se reproduire dans les alvéoles de la larves des abeilles, en phase de percolations ! Normalement, les informations indicatives et spécifique, du larve d’abeille arrivé à la position terminale de son développement sont, reconnues par le varroas aussi ! Notamment par le même phénomène , c’est-à-dire , par l’odeur spécifique que propage la larve. Mais, ce phénomène, est parfaitement utilisées par les varroas également! S’introduire dans un alvéole déjà mure juste avant de sa percolation! Alors cet opération réussit, prouve la capacité extraordinaire d’un petite animal, minuscule, à reconnaitre de tels occasions ! Mais, d’où viennent, ce savoir-faire de la varroa, de pondre ses œufs sur le dos de la larve d’abeille et de laisser fermer, percoler l’alvéole par des abeilles ? Alors que jusqu’ ici, il n’était même pas question d’évoquer que l’abeille n’est pas en mesure de voir son exploiteur, la varroa! Vu la complexité étonnant ces démarches, l’apiculteur « maitre » de le colonie d’abeilles imagine mal, d’où viennent, de telles capacités de camouflage des varroas ?

Mais alors à fin d’empêcher de nuire les abeilles, par de telles manipulations, serait’-t-il possible d’imaginer une méthode de démarche, pour empêcher que cela se produise ? Comment perturber ou comment détourner l’information qui annonce à la varroa le chemin à suivre, pour pondre? Comment, sinon et naturellement par une odeur spécifique de phéromone, le moyen d’orientation normal de l’animal ! A l’origine, il s’agit d’une Phéromone , odeur fabriqué et propagé par les larves de faux bourdons, devenues mures ! A remarquer que ce produit, en plus de sa spécificité odorant, est nettement plus abondant, donc plus fort, que celui diffusé par les larves ordinaires, en temps ordinaire ! Par ces distinctions facilement remarquables sont ces signalement. L’émetteur annonce facilement qu’il est devenu adulte, il ne plus besoin de nourriture, il demande la fermeture de son alvéole !

Mais l’apiculteur n’a pas d’intérêt à empêcher ni même ou perturber de déroulement d’un tel programme ! Cela d’autant plus, qu’il est possible de dépasser ce blocages par une démarche parait-t-il prometteuse et efficace ! On peut imaginer qu’un varroa à la recherche une occasion pour pondre, aperçoit un filament d’odeur fort, émis par un alvéole mur et qui s’élève dans la ruche ! Aussitôt il va suivre à remonter du filament d’odeur, jusqu’au la source. Cela est une véritable piège pour les varroas, l’lorsque cet odeur, ne conduit pas sur une alvéole, désignée à la reproduction

II arrive que par manque de chance, depuis, cette alvéole signalétique arrive déjà des signaux de présence d’un varroa pondeuse qui est plus proche! Dans ce cas, il va donc renoncer à vouloir occuper le lieux, et continue ces recherches jusqu’à tomber sur une occasion plus favorable à la reproduction !

Comment l’apiculteur malicieux pourra imaginer à provoquer un bouleversement de cet ordre, afin pour perturber le déroulement de la reproduction des varroas ? Serait-ce possible par exemple de piéger les varroas en les attirant irrésistiblement par une odeurs alléchants plus fortes, et surtout, attirer ailleurs,. . . que dans l’alvéole du larve de fau bourdon ?



En effet sur le centre du soubassement du la ruche, un petit plateau « piège » est placé avec une réserve de Phéromone parfum, à odeur, forte attirant. Pour le rejoindre, cette filament attirant, il faut passer par le toit grillagé ! Attirés par les odeurs, c’est la fin du parcours pour les varroas à la recherche l’occasion à se reproduire En effet ce grillage sur le piège, est fabriqué fortement glissante et pour le varroa, impossible de s’accrocher dedans. Il va donc tombé aussitôt plus bas, Et c ’est la fin du « suceur de sang » des abeilles ! Il vas tomber dans la colle ou il sera retenu définitivement.

Apparemment, la solution proposée simple mais conditionnée par la qualité des accessoires ! Elles seront expérimentés dans le cas de son utilisation à « ruche piège à varroas » !



Une ruche piège à varroas ! Description courte !

Au commencement il s’agit d’une ruche type « Dadant » qui n’a subi, aucun changements dans sa conception, mais beaucoup de changements dans son emplois, avec un accessoires !

1. Il s’agit de l’emplois d’un petit plateau grillagé et amovible, appelé le « piège » Il est de taille 12X20 cm, H= 1,4 cm. Posé, sur le plateau support de la ruche. Il est donc amovible par l’entrée et sortie de la ruche, par glissements. Il est composé par une base support croisée en fil de fer, qui supportent le grillage fin par le haut comme sur les côtés, jusqu’à 3 mm du sol. Mais ces croisées en file de fer supportent aussi son enveloppe en grillages excluant des abeilles, mais passages libre, pour les varroas ! Sur sa base sera posé une plaque rigide, amovible, avec une couche de colle fort, capable de retenir les varroas pour de bon !

A remarqué aussitôt que le grillage appliqué sur la « piège » sera réalisé finement en plastique glissant du moins, passages libres pour les varroas ! Alors que les abeilles sont exclues. Mais le grillage de dessus rabattu sur les cotées, et s’arrête à 3 mm du sol, pour permettre aux varroas attirés par le phéromone, de pénétrer , se promener librement sur le plateau piège . En effet, à noter, que sur ce petit plateau, amovible posé au niveau du sol, est étalée, un collant fort . Celle-ci est prévue non seulement pour bloquer pour le bon, les varroas tombés sur le plateau rigide de la ruche, mais aussi pour ceux qui tombent à travers, sur la grille du petit plateau amovible. Souvenons que la grille posé sur le petit plateau piège est préparé et fabriqué dans une matière plastique spécifique glissant qui empêche les varroas à s’agripper ! Ainsi, ils tombent, sur le fond collant, et ils restent bloqués, définitivement!

Mais pour quelles raison le piège fonctionnerait-t-il, ainsi ? En effet au milieu de ce plateau piège est prévue un dépôt de phéromone fortement attirant ! Ce produit (de mieux en mieux expérimenté, recomposé) à grand capacité d’attirance pour le varroa sera fabriqué et employé spécifiquement à l’usage, et il seras déposé au centre du plateau piège ! Son niveau de qualité, sera surveillé et renouvelé régulièrement !

A partir de ce stockage de réserve de Phéromone spécifique, vont partir des filaments de parfum , entre des cadres de la ruche ! Alors, les varroas voyagent sur le dos des abeilles vont être impressionnées ! Dès qu’ils se trouvent en contact avec le filament attirant, il saute du dos de son porteur pour rejoindre , pour retrouver la source, autrement dit de l’émetteur. C’est là qu’il tombe dans le piège ! Car l’odeur de ce filament le conduit sur un terrain collant qui le retient pour de bon.

En effet le sol du petit plateau-piège, recouvert avec d’une couche de colle, fort, tant ; sera capable d’immobiliser, le varroa pour de bon ! Cela fonctionnera tel que, pendant que le produit de phéromone attirant placé au centre du plateau, reste efficace ! Il y a donc à ce niveau, aussi, une surveillance régulière à effectuer durant la saison.

L’efficacité du système est contrôlable par le comptage des varroas collés, retenus. Voir selon, endroit d’exploitation aussi ! Naturellement de nombreuses expériences et observations seront recommandé à fin raffiner, augmenter l’efficacité du système !



A remarquer que dans la pratique, l’emplois de la méthode proposé présentes des avantages considérables !

1. Seul, une petite accessoire, appelé « piège » 12X20X1,5 cm équipé, sera utilisé ! Placé au centre du plateau de la ruche il sera facilement retirable et remplaçable par l’entrée de la ruche . En réalité c’est la seul élément, appelé « piège », sera désigné et disponible sur le marché des accessoires !

2. Il sera recouvert par un grillage spécifique. Maillage fin, et fortement glissante à laisser passer facilement le varroas en empêchant aux varroas de s’y accrocher, mais en facilitant leur chute!

3. Le parterre sera recouvert d’une couche de colle suffisamment fort pour maintenir pour de bon, le varroas tombé définitivement !

4. Le grillage du couverture de la piège sera aussi, retourné vers le bas, sur les quatre faces, jusqu’à 3 mm du sol, prévu pour laisser passer les varroas qui aurait tombé sur le plateau de la ruche, même! Le grillage de couverture sera amovible, afin faciliter les changement du plateau support!



Quelques avantages :

A aucun moment aucun produit chimique n’est utilisés

Pas de manipulations spécifiques de la ruche-piège par rapport à la colonie installée dans un cas classique ! Il est possible d’enlever, et de tirer dehors le petit plateau de piège installé sur plateau de la ruche et la remplacer par un autre, déjà renouvelé. L’opération de changement ne demande que de peu de temps, pas de dérangements ni de perturbations dans la vie de la colonie !

Mais il est possible aussi de compter des varroas collés sur le plateau de control et cela durant toute la saison ! En réalité vers la fin de la saison, forte ralentissement de varroas retombés ? Voir contrôle éventuel au début de a la saison à venir !



L’entreprise qui serait intéressé à fabriquer le petit « piège » à varroa, grillagé, à vendre aux apiculteurs, peut donc prévoir de la défense de ses intérêts par un dépôt de protection ? A remarquer l’invasion mondiale du varroa, la réussite de l’efficacité du système de défense proposé mérite d’être étudier pour sa diffusion !